𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗹𝗲 𝗯𝘂𝗿𝗻-𝗼𝘂𝘁 𝗺𝗲 𝗺𝗲̀𝗻𝗲 𝗮̀ 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗿𝗼𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗶-𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝘁𝗲𝗹 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁... par Eddy Vonck
Quand le burn-out me mène à l’introspection de moi-même vers le monde tel qu’il est...
par Vonck Eddy
C’est à l’âge de 49 ans, qu’un burn-out conscient se déclarait en moi, entre 2014 et 2015, je suis assistant de vie scolaire dans une école élémentaire du 14ème arrondissement de Paris, auprès d’enfants géniaux mais que notre société et l’éducation nationale y compris certains enseignants classifient trop facilement « de handicapés ! »
Pour moi, je définis cette maladie dépressive, le burn-out, « que je travaille contre mes valeurs et mes éthiques, et que le burn-out est une maladie sociétale à cause d’un système managérial inhumain ! »
Le burn-out est aussi appelé « syndrome de l’épuisement professionnel », bien que cette maladie dépressive peut se déclarer dans d’autres sphères de la vie de tous les jours !
Je ne vais pas faire mon procès sur ce blog au sujet des AVS de France, quoi, que, déjà le contrat de travail est dégueulasse, sous payé et même frise l’illégalité !
En général lorsqu’on fait un burn-out (ou et une dépression), on la nie jusqu’à ce qu’un jour, votre corps et votre esprit dit « STOP » où « GAME OVER !».
Personnellement, le premier symptôme de cette maladie, était une pelade, je perdais mes cheveux et mon crâne ressemblait au pelage d’un Dalmatien. À savoir les pelades**, sont des symptômes dermatologiques donc la cause, le terrain où et le déclencheur viennent d'un traumatisme ou et d'un choc émotionnel conscient ou pas !
**Qu'est-ce que la pelade ? La pelade, ou alopécie, est une maladie auto-immune qui provoque soudainement une chute des cheveux et laisse place à de multiples plaques parsemées sur le cuir chevelu. Cette perte de cheveux est habituellement localisée et parfois irréversible. La pelade n'est pas une maladie contagieuse.
Le pire, une clique de médecins
traitants refusaient d’entendre mes « SOS », donc je suis
retourné bosser et lorsque je rentrais chez moi ko, une fois rentrer à l'appartement, j’allais dormir
en raison de l’épuisement qui lui était conscient d'une journée de travail qui ne convenait pas à mes valeurs humaines.
L'avant-dernier médecin consulté très hautain à Vincennes, m’avait fustigé que je fabulais mais voulais me prescrire des anxiolytiques, ce que j’avais refusé… Aussi, mon entourage refusait de comprendre, parfois mon âme pleurait vers ces gens qui restaient de glace !
C'était un peu ou beaucoup, qu'on me prenait pour un menteur, un affabulateur et un fainéant...
Lire cet article : 𝗣𝘀𝘆𝗰𝗵𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 : "𝗙𝗮𝗶𝘀 𝘂𝗻 𝗲𝗳𝗳𝗼𝗿𝘁 !", 𝗼𝘂 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 : "𝗦𝗶 𝘁𝘂 𝗻'𝗲𝘀𝘀𝗮𝘆𝗲𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗲 𝘀𝗲𝗰𝗼𝘂𝗲𝗿 𝘂𝗻 𝗽𝗲𝘂, 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘃𝗲𝘂𝘅-𝘁𝘂 𝘁'𝗲𝗻 𝘀𝗼𝗿𝘁𝗶𝗿 ?"
Alors que quelques semaines après cette visite médicale inhumaine, se déclare un malaise vagal qui me permettait avec et enfin appuis d'un autre médecin traitant d'obtenir un certificat de maladie avec son conseil, de ne plus retourner bosser là-bas.
C'était à ce moment, que je comprenais que j'étais allé trop loin dans la sur-adaptation juste pour recevoir un salaire (640 euros) et un complément RSA chaque fin de mois afin de survivre.
Pourtant, j'aimais en plus de bosser avec Valentin, Nathan et Florine, ces gosses superbes mais différents et incompris par le système éducatif méritocratique mais pas que ! (c'était entre le 1er mars 2014 et le 18 novembre 2015.)
C’est par ces biais que je vais reprendre les études et faire surtout des recherches en matières de psychologie, de psychanalyse et de développement personnel et particulièrement la Pnl (la Psychologie Neuro Linguistique).
Le burn-out est une sur-adaptation le plus souvent au travail, mais combien d’entre-vous ne sur-adaptent-ils (elles) pas dans un poste de travail parce que « pas le choix », parce qu'il faut payer ses factures, les loyers et nourrir la famille si en plus, il n’y a pas des crédits en cours…
Votre boîte et votre patron exigent de vous une certaine performance de rentabilités et de polyvalences diverses, que par cette demande exigeante, vous, vous sur-adaptez en faisant plus, trop ou peut-être pas assez du point de vue de votre employeur qui pour certain, vous noterons avec frustration de ne pas être le (la) meilleur(e) dans l'équipe, ce qui est frustrant alors que pour vous, vous faites de votre mieux !
Cette demande de rentabilité, vous contraint donc et vous force de vous fondre dans des mécanismes de manques et de peurs.
Pourtant, au fond de vous, vous savez que ces rôles (dominant/ dominé) ne vous conviennent pas mais que vous pensez n’avoir pas le choix de démissionner ou et de changer de travail, et je comprends !
Franchement, je ne vais pas vous donner des solutions, chaque cas de burn-out est relativement différent, mais un conseil, faites-vous aider par des gens compréhensifs qui ne jugent pas ce moment difficile à surmonter.
Dans la littérature en développement personnel, ces auteurs souvent des coachs ou des mystiques, vous diront « Que c’est facile de changer de focus et votre vie si celle présente, ne vous convient plus ou pas !? »
Aussi, évitez internet où vous trouverez des offres alléchantes souvent trompeuses parce que nombreux, sont des gourous qui n'ont qu'un objectif, vous prendre de la tune !
Dirigez-vous vers un professionnel pignon sur rue où même vers des associations soutenantes, c'est un premier pas que je peux vous proposer de faire, vous pouvez aussi m'écrire par le biais du formulaire en bas de la page d’accueil du blog, je fais de mon mieux pour vous répondre !
Comment trouver un bon professionnel, c'est une réponse compliquée. À l'intuition peut-être, en général, un thérapeute a la verbalisation antipathique ou qui ne bosse pas avec un protocole clarifiant le nombre de séances et le prix, je vous les conseille pas, et s'il y en en a un, qui vous gueule dessus (vécu) parce que vous pleurer vos souffrances et qu'il invoque que vos chakras ne sont pas alignés parce que vous n'avez pas l'argent pour le payer, FUYEZ !!
Mais la réalité du monde, me démontre de plus en plus, que notre société en perpétuelles crises, qu'il y a beaucoup de gens de la classe non bourgeoise qui ont de plus en plus difficile de joindre les deux bouts et survivent, idem pour moi !
La précarité et la pauvreté dans le monde ne sont pas des illusions mais bien des faits sociétaux qui mène souvent les gens épuisés inconscients ou pas, d’être (faire) en burn-out !
Quelques signes déclaratifs d’un burn-out :
- Vous vous sentez plus à votre place dans le cadre de votre poste de travail,
- vous sentez en inadéquation avec que qu’on vous missionne de faire dans cadre de votre travail,
- vous vous sentez plus stimulé, plus envie de se lever du lit pour bosser, vous vous sentez épuisé et démotivé,
- vous ressentez un décalage de sens ou et de valeurs à votre fonction, vos tâches, votre mission dans le cadre des exigences de votre hiérarchie, votre patron et l’entreprise…,
- vous vous sur-adaptez tellement dans votre mission de travail au détriment ou jusqu’au point de vous oublier complètement,
- vous étiez auparavant toujours de bonne humeur et disponible, ce n'est plus le cas, vous être ronchon voire désagréable,
- vous avez des douleurs physiques (maux de tête, de dos...)
J’insiste de démontrer que chaque syndrome naît d’une tension qui persiste consciemment ou pas, à un moment cette tension deviendra peut-être insurmontable parce qu’elles s’accumuleront en stress puis en surmenage pour finir par le burn-out si le diagnostique tarde à être conscientisé avant de faire « Game Over »
En sortir peut-être inconfortable, le changement peut nous faire peur, et faire un premier petit pas pour changer dans des formes inconnues de ce qui ne va pas, peut être difficile à faire !
Un accompagnement de qualité empathe et bienveillant est une solution, parce que le burn-out, c'est aussi une imbrication de traumatismes.
Au plus vite, vous cherchez des solutions par de l'introspection en comprenant pourquoi vous êtes malade, dépressif ou et en burn-out ?? Comprendre aussi le ou les déclencheurs de cette maladie en ne niant pas toutes les responsabilités des uns et des autres, vous incluant bien sûr, plus vite, vous pourrez aller mieux, je vous le souhaite !
Le sujet est vaste, je vous invite si vous avez lu cet article, jusqu'au bout, de débattre et de commenter ci-dessous, merci !
Eddy Vonck
Rédacteur bénévole de Psycho'Logiques




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