𝐒𝐲𝐧𝐝𝐫𝐨𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐬𝐩𝐞𝐫𝐠𝐞𝐫 - 𝐋𝐚 𝐜𝐫𝐢𝐬𝐞 « 𝐝𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐢𝐯𝐞 » 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐨𝐮 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐢𝐝𝐞́𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐢𝐜𝐢𝐝𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐓𝐨𝐧𝐲 𝐀𝐭𝐭𝐰𝐨𝐨𝐝 𝐞𝐭 𝐌𝐢𝐜𝐡𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐆𝐚𝐫𝐧𝐞𝐭𝐭 (𝐬𝐮𝐢𝐭𝐞)
La crise « dépressive » avec ou sans idées suicidaires
par Tony Attwood et Michelle Garnett
Les crises « dépressives » sont généralement d’une grande intensité et surviennent sans qu’on s’y attende (où que les autres n’ont pas voulu observer ou entendre), mais elles ne durent jamais longtemps !?
Ce spectacle peut-être très déroutant pour les autres, mais il est essentiel de garder à l’esprit que ce type de crise peut être bref et passer très rapidement (où son contraire, longuement !)
() je ne suis pas en accord, sur le principe de définir une crise ou et une dépression de courte ou de longue !??
Le ressenti étant difficilement supportable, sachez qu’il existe des stratégies qui permettent d’atténuer le désespoir et d’éviter tout passage à l’acte potentiellement fatal durant la crise !?
Une des stratégies proposées par les auteurs est :
Vous devez...
Solliciter immédiatement l’aide d’un proche en qui vous avez confiance (un ami, un membre de la famille, un collègue, un professeur, votre médecin, votre thérapeute…) que cette aide attendue soit d’ordre pragmatique ou et émotionnel ;
Si vous avez un HOBBY ou un intérêt restreint, ou mieux encore, de vous y livrer. Cela fera office de distraction et de barrière permettant de mettre un terme à ce sentiment de désespoir intense.
() (je suis partiellement en accord, avec cette proposition des auteurs, un « intérêt restreint* », et c’est aussi valable pour « la médicalisation* pharmaceutique du ou des symptômes* de la dépression ». Que cela ne deviennent pas un refuge*, un sparadrap ou une rustine passagère à la crise ou à cette maladie mentale que seul un bon thérapeute (ou et médecin(s)) pourra aider le patient dans ses nombreux besoins/ attentes qui souvent, n’ont pas été atteints ou mêmes réussis, c’est souvent, le départ d’une dépression « quelques choses d’extérieures à soi dérégulent la normalité du chemin de vie souvent suite à un incident de la vie, dans le cas de l’Autiste Asperger.
c’est la méconnaissance du trouble et de la pathologie, le manque de professionnalisme des thérapeutes/ coachs, les jugements, les peurs, les regards des autres, les indifférences, le dernier peut-être une forme de racisme et d’exclusions sociales.) ()
() Eddy Vonck – Thérapeute – Homéopathe de passions.
Autres conseils des auteurs pour ceux qui sont à l’envers du miroir, les acteurs possibles qui observent ou et qui accompagnent : (*un ami, un membre de la famille, un collègue, un professeur, votre médecin, votre thérapeute…) que cette aide attendue soit d’ordre pragmatique ou et émotionnel ;
Cette personne* doit impérativement, garder son calme et se montrer rassurante !
L’agitation ou et la confusion d’une autre personne ne ferait qu’accroître l’intensité du désespoir, car cela reviendrait à « jeter de l’huile sur le feu.
Malgré les remarques blessantes (avec ou pas des effets miroirs thérapeutiques, certains sujets exprimés peuvent aussi troublés le thérapeute par exemple ?) que vous êtes susceptible de faire durant la crise, la personne qui vous apporte son soutien ne doit en aucun cas exprimer le moindre désarroi en réaction à vos remarques et autres actions.
Résister à l’envie de « régler le problème » les émotions sont si intenses et l’intensité du désespoir est telle que, quelles que soient les suggestions qui vous sont faites, elles seront presque immanquablement rejetées et perçues comme une provocation et d’un manque de compréhension(s) au(x) problème(s).
Entendre vos ressentis et se contenter de vous écouter, vous ressentiriez peut-être le besoin d’exprimer votre désespoir à l’aide de mots ou autres jurons qui vont se révéler forts utiles pour extérioriser toutes les émotions que vous avez en vous.
La personne à votre écoute se doit d’entendre ces émotions sans porter le moindre jugement, même si elle n’est en aucun cas d’accord. Elle pourrait par exemple, vous dire ces quelques mots : « je sais et je vois bien que tu as actuellement désemparé et envahi par un sentiment de profond désespoir ! »
Se réfugier avec vous dans un lieu calme propice à la détente et à la discussion.
() je n’aime vraiment pas les généralisations, je connais bien ce sujet sociétal de plus en plus courant dans notre société et particulièrement chez les personnes douées mais précaires mais pas que. Peux de thérapeutes parce que rarement formés à ces troubles, qui d’ailleurs, ne le connaissent que très peu ou pas du tout, ne réconfortent pas leur patient dépressif.
Dans un concept proche de la PNL (Psychologie Neuro Linguistique), il y a le Clean Langage, une phrase peut changer la souffrance du patient
« J’ENTENDS (ta/tes souffrance(s), que tu es triste, que tu es en colère… JE VAIS T’AIDER…» Votre Mission est de RASSURER, rassurer, rassurer !!!! ()
() Eddy Vonck – Thérapeute – Homéopathe de passions.
() Ce sont mes mots, je n’aime pas dans ce livre ou des autres que je peux lire, les généralités, chaque personne est différente, et ses besoins d’aides ou d’accompagnements, ne seront peut-être pas les mêmes qu’une personne qui va se suicider ? (Il y a une nuance !) Mais, un POINT COMMUN, est que la ou les personnes que ce soit dans l’entourage, ou un psychologue, psychiatre, médecin de famille, thérapeute, coach N’enfoncent pas le clou d’une dramatisation d’un humain, femmes ou hommes, enfants, ados, moins jeunes ou vieux qui souffrent de quelques choses (qui s’est passées, où qu’il raconte souvent en pleurs ou et avec cœur et vérités…) ()
() Eddy Vonck – Thérapeute – Homéopathe de passions.
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Le sujet est vaste, je vous invite si vous avez lu cet article, jusqu'au bout, de débattre et de commenter ci-dessous, merci !
Eddy Vonck
Rédacteur bénévole de Psycho'Logiques


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